Suisse

Selon un rapport, la plus grande menace qui pèse sur la Suisse est une attaque nucléaire suite à un incident diplomatique déclenché par Guy Parmelin

Le service de renseignement de la Confédération publie chaque année un rapport détaillant les principales menaces qui pèsent sur la Suisse. Contre toute attente, en 2023 ce n’est pas le « wokisme » qui arrive en premier de la liste mais le risque de se prendre une frappe nucléaire après que Guy Parmelin a provoqué un incident diplomatique.

Qui l’eût cru ! Contre toute attente, ce n’est pas le sacro-saint « wokisme » et encore moins le « militantisme d’extrême gauche » qui arrive cette année en tête du classement des principales menaces qui pèsent sur la Confédération helvétique. Bien au contraire, même. Car, cette année, le principal danger encouru par la Suisse est issu des rangs de l’extrême-droite et s’incarne plus précisément dans la personne de Guy Parmelin. L’ancien ministre de la défense et actuel capi-chef du département de l’économie, de la formation et de la recherche inquiète en effet tout particulièrement le Service de Renseignement de la Confédération (SRC) qui craint notamment que son déplorable niveau d’anglais, de chinois, de russe, d’iranien, de pakistanais, d’hindi et de nord-coréen le conduise à l’incident diplomatique lors d’échanges avec les responsables politiques de ces pays. Car Guy Parmelin n’en serait pas à sa première bourde sur la scène internationale. Lors d’une rencontre avec Joe Biden dans le cadre d’un sommet sur la patate douce, le conseiller fédéral l’aurait ainsi traité de « son of a bitch » en croyant lui demander comment il allait. « Heureusement, le président américain n’avait pas enclenché son sonotone et n’a donc pas entendu l’insulte », rassure un collaborateur personnel du ministre qui déplore cependant qu’on le laisse encore essayer de communiquer dans la langue de Shakespeare : « Ce jour-là, la Suisse a quand même failli être rayée de la carte quoi. Je ne trouve pas très malin qu’on ne l’empêche pas de s’exprimer en anglais », ajoute ce dernier. 

Dans le rapport, Guy Parmelin est ainsi dépeint comme une « menace avérée » pour la sécurité nationale. Le même rapport de suggérer qu’on l’enferme dans un placard ou qu’on lui prétexte un coup de froid lorsqu’il aura à nouveau à rencontrer un ou une représentant·e d’un pays doté de l’arme nucléaire. 

La Rédaction. 

Crédit photo: “160121-D-LN567-146” by U.S. Secretary of Defense is licensed under CC BY 2.0.

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