Islamo-gauchisme

Solidaire, Patrick Drahi va installer des tentes dans son jardin pour accueillir les Norvégiens qui fuient la ponction fiscale 

Le milliardaire français résidant à Genève – selon le fisc – et en Valais – selon lui – va installer des tentes dans son jardin pour accueillir les Norvégiens qui fuient leur pays pour échapper au fléau de l’impôt. « Entre semblables, il faut bien se serrer les coudes ! », déclare celui qui lui aussi avait été pris à la gorge par le fisc il y a quelques années. 

Ils sont grands, ils sont blonds et ils sont plus de 50, depuis le début de l’année, à avoir déjà quitté leur contrée pour s’établir dans celle des montres, du chocolat et de l’évasion fiscale. Contre toute attente, les Norvégiens fuient leur pays social-bolchevik qui paraissait pourtant presque aussi idyllique que celui dont l’organisation politique est si bien ficelée que des assurances-maladies peuvent y refuser de rembourser des soins aux enfants handicapés quand le Parlement y vote des bonus faramineux à des irresponsables notoires. En Norvège, le taux d’imposition sur la fortune de ceux qui l’ont grande vient en effet littéralement d’exploser. Il atteint désormais le chiffre faramineux de 1.1% contre 1% auparavant ! 

« Du jamais vu ! On n’est pas loin de l’expropriation pure et simple », selon un consultant expert en consulting. « Une honte ! », a par ailleurs commenté le milliardaire français établi entre le Valais et Genève, Patrick Drahi. Lequel leur a conséquemment tendu la main en offrant de les loger gratuitement ­– le temps qu’ils se trouvent un pied-à-terre entre Vendœuvres, Collonge-Bellerive et Cologny – dans son jardin équipé de tentes et doté de toutes les commodités nécessaires à des gens de leur standing. « C’est le moins que je puisse faire ! », souligne ce dernier qui ne cache pas sa déception d’autrefois lorsque, quittant définitivement la France en novembre 2015 après que cette dernière lui a littéralement craché au visage en lui demandant de rétrocéder une part de sa colossale fortune à la collectivité publique, il avait tenté l’aventure et rejoint la rive gauche de cité de Calvin. « Ah ! Ce que j’aurais aimé, à ce moment-là, que quelqu’un me tende la main comme je tends aujourd’hui la main à ces Norvégiens ! », dit-il. « Mais bon, tant pis ! Tout ça n’est que de l’histoire ancienne ! Qui plus est, il faut bien que quelqu’un tende la main en premier pour que d’autres la saisissent et la tendent à leur tour ! », philosophe ce dernier. Les petites gens, quant à eux, n’ont qu’à continuer à tendre les deux joues. 

La Rédaction. 

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