Le groupuscule écolo-gauchiste terroriste islamiste aurait aussi passé une commande gigantesque de mauvais vin et de charcuterie pour empêcher l’organisation du parti de s’en procurer.
En Suisse, les meetings UDC sont au goût ce que les t-shirts Desigual sont au style : ils n’en ont pas. Or, une fois encore qui est une coutume chez les militants de la droite helvétique, les cadors du parti agrarien ont organisé leur traditionnel assemblée du premier août en lieu et place de la plaine du Grütli sur laquelle les premiers cantons suisses signaient en 1291 le fameux pacte qui consacrait le règne du fromage, des assurances maladies trop chères, du renvoi des criminels étrangers, de la spoliation d’autres pays et de la place financière. Et c’est pour se remémorer toutes ces traditions millénaires que les membres du parti se posent généralement autour d’un pentagramme dessiné au milieu de la plaine afin d’intégrer un monde qui n’existe que dans leurs têtes, à savoir une Suisse où les étrangers seraient renvoyés dans leurs pays voire exécutés après un jugement sommaire et où le drapeau à croix blanche flotterait au-dessus de chaque jardin et de chaque tête comme pour signaler que le Big Swiss Brother nous surveille constamment.
Si tout était bien parti – les réservations de la plaine ayant été enregistrées depuis des années et pour de nombreuses années encore – c’est à la stupeur
du comité organisateur que l’UDC découvre ce samedi 1e août un champ complètement calciné où l’on devine le sablier du groupuscule international terroriste de bobos Extinction Rébellion. La colère succédant à la stupeur, Ueli Rösti, le porte-parole de la section schwytzoise de l’UDC ne mâche pas ses mots : “Comment ont-ils osés !? Notre plaine, nos valeurs, nos idées sur les moutons noirs et les moutons blancs ! Tout est parti en fumée ! Je suis si triste, c’est comme si les tour jumelles s’effondraient encore. Aujourd’hui, la Suisse est morte…”.
Les autorités, qui ont été appelées directement après le constat de ces dégradations, ont directement bloqué toutes les routes, posé des revêtements cloutés sur la chaussée et lancé un appel à témoin sur les réseaux sociaux de la SSR. Elles rechercheraient une bande d’individus blancs avec des dreadlocks se déplaçant en cargobike. Pour tout renseignement contacter le 1291 1291 et dites “j’aime mon pays !”.
La Rédaction de la Biturne de Genève, comme tout bon canard d’extrême droite, s’associe bien évidemment à la peine causée aux vrais Suisses qui ont découvert ce massacre d’un monument du patrimoine national.
