Suisse

Le Valais se prépare à une hausse des dépressions liée à la fermeture précoce des bars

Si les hôpitaux sont déjà débordés par les cas covid, ils risquent bien d’accueillir un nombre de patients supplémentaires… Conséquent.

Pascal Zufferey n’en revient pas de l’annonce effectuée par le conseil d’État valaisan. Celui-ci a en effet décidé de clore les bars ainsi que les tripots et les caves valaisannes à l’heure où la plupart des clients sont encore en train de s’échauffer le coude à coups de Petite Arvine. Terminé les cuites, terminé aussi les discussions politiques jusqu’à pas d’heures sur le rayonnement international du canton du Valais. Désormais, les hommes, forts et virils comme le vin qu’ils produisent pour se détruire, devront rentrer à la maison et s’occuper d’autres affaires que celles de leur nombril. Toutefois, les répercussions individuelles de la fermeture des bars ne sont pas ce qui inquiète le plus les autorités sanitaires.

L’hôpital du Valais, lui, se dit « préoccupé » par la décision : « Quand on empêche les gens de pratiquer leurs passions – en l’occurrence se bourrer la gueule – il y a forcément des répercussions psychologiques. Or, les valaisans étant particulièrement attirés par la bouteille, nous nous attendons à une vague de dépressions… Pire, des pères de familles en détresse psychologique à deux doigts de mettre fin à leurs jours pour ne pas avoir à s’occuper de leurs chiards. Ça va forcément mal finir c’t’histoire ».

La décision a néanmoins été saluée par Christian Constantin qui invite les citoyens valaisans à venir s’en jeter une avant de se jeter des gradins du stade de Tourbillon. 

La Rédaction. 

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