La Suisse pourrait avoir trop peu de vin à partir de 2025 dans le pire des cas en raison d’un désaccord avec l’Union européenne et de la mort des vignerons « pour la plupart antivax », indique un rapport sur la sécurité de l’approvisionnement en vin. Le ministre des vignes, Guy Parmelin appelle ses concitoyens à se préparer dès maintenant à la pénurie.
La Suisse a mal géré son coup. Elle n’a pas prévu assez de vin pour satisfaire l’augmentation de la consommation de ses concitoyens à l’horizon 2025. La faute à trois évènements pour certains inattendus : la crise covid ; l’Euro 2024 et la diminution de perspectives chez les 20-34 ans, qui iront tous de pair avec l’augmentation de la consommation de Gralsburg et de vin bon marché, selon une étude de l’OFSP.
En cause également, le comportement déplorable d’Ignazio Cassis à Bruxelles, lequel a préféré réaliser un zizicopter* devant le Parlement européen plutôt que de prononcer son discours d’amitié qui aurait pu permettre à la Suisse de sceller un accord d’intégration sur le marché européen des vins et spiritueux.
Aussi, la plupart des vignerons suisses – proches de l’UDC et donc, pour la plupart, antivax – sont appelés à mourir sous le coup des variants delta, gamma, epsilon, iota, gamma et oméga du covid-19. Préférant en effet les perfusions de vin blanc à la pfizerisation, ceux-ci, à l’instar des dinosaures en leur temps, sont donc appelés à disparaître – la sélection naturelle après que des virus s’échappent de laboratoires américains situés en Chine faisant, si l’on peut se permettre, finalement bien les choses.
Fort de tous ces éléments, Guy Parmelin prévoit, dans le meilleur des scénarios, l’obligation de consommer jusqu’à la lie les immondes vins vaudois ; dans le pire des cas, une pénurie de pinard dans la Suisse entière. À la recherche de solutions, le Conseil fédéral a déclaré qu’il allait proposer au Parlement européen de sacrifier Ignazio Cassis selon la méthode Viking de l’aigle de sang. « Ainsi parviendrons-nous peut-être à rattraper l’affront que celui-ci leur a fait avec son petit engin tournoyant dans le Parlement européen », s’est exprimé, visiblement las, notre président-encaveur rappelant que, lui vivant, la Suisse ne s’abaisserait jamais à consommer des vins australiens ou californiens.
La Rédaction.
*Le zizicopter est une technique ancestrale des Cassis, transmise de père en fils, qui consiste à faire tournoyer son pénis dans les airs – comme les pales d’un hélicoptère – jusqu’à ce que toutes les personnes dégoutées aient quitté la salle. Si par chance une personne reste, alors il s’agit de la promise du membre de la famille Cassis, ou bien de Gilbert Montagnier.
Illustration : “Responding to Fragility: Guy Parmelin” by World Economic Forum is licensed under CC BY-NC-SA 2.0
